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GEVAUDAN / Sur les traces de la bête
GEVAUDAN / Sur les traces de la bête
Le 19 juin 1767, le chasseur Jean Chastel abattit une bête sur les flancs du Mont Mouchet, non loin de son village.
La terreur s’achève en Gévaudan après trois années d’attaques et de massacres. Pourtant, le mystère demeure sur l’origine de ce fléau.
Photos : Stéphane Gautier Texte : Aurore Staiger
La terreur s’achève en Gévaudan après trois années d’attaques et de massacres. Pourtant, le mystère demeure sur l’origine de ce fléau.
Photos : Stéphane Gautier Texte : Aurore Staiger
Certaines théories évoquent l’existence d’un ou plusieurs animaux extraordinaires, des complots humains et autres meurtres masqués. L’enquête se poursuit toujours, elle attire même de nouveaux « gabalobestiologues ».
250 ans plus tard, le pays reste marqué par le sceau de la bête.
Ici, on connaît les lieux des attaques, les noms des vic- times... autour de la vaste forêt de Mercoire où furent répertoriés les premiers crimes ; à travers la Margeride, théâtre de gigantesques battues ; ou près des trois Monts, où tomba ce que l’on qualifia d’hybride de loup et de chien.
La légende et l’histoire se sont entremêlées dans ce décor brut, attisant toujours notre imaginaire. Reportage en Gévaudan, sur les traces de la bête.
250 ans plus tard, le pays reste marqué par le sceau de la bête.
Ici, on connaît les lieux des attaques, les noms des vic- times... autour de la vaste forêt de Mercoire où furent répertoriés les premiers crimes ; à travers la Margeride, théâtre de gigantesques battues ; ou près des trois Monts, où tomba ce que l’on qualifia d’hybride de loup et de chien.
La légende et l’histoire se sont entremêlées dans ce décor brut, attisant toujours notre imaginaire. Reportage en Gévaudan, sur les traces de la bête.